Le plus important dans le cadre d'une station météo datalogger est son autonomie. J'ai choisi la voie panneau solaire + batteries afin de pouvoir être autonome en énergie. Mais comment ca marche ?
Pour palier les coupures électriques et la perte d’information de la station, j’ai construit une version autonome en énergie qui stocke les données de manière pérenne et qui peut les envoyer sur Thingspeak.
Alors que j’ai pas mal de sondes de températures ici et là, j’en avais marre de refaire des montages à la volée à chaque fois. J’ai donc fait un schéma puis un pcb que j’ai fait tirer pour pouvoir le ré-utiliser.
Comme je l’écrivais en 2018 dans mon article « Comment gérer le PRA de ses données personnelles« , il est primordial de faire des sauvegardes de ses serveurs sur un autre site. La perte des datacenters OVH SBG2 et SBG1 prouve bien tout son intérêt. Retour sur un mercredi noir.
Depuis le démarrage de la station, je tourne avec un DHT22 qui me donnait à peu près satisfaction. Mais lors de grands froids, la sonde avait un comportement bizarre. J’ai donc investi dans une sonde qualitative.
2021 commence et avec elle, de nouveaux projets. Si le train restera présent évidement dans les prochains mois, je recherchais depuis longtemps un projet autour de l'Arduino. Et je me lance dans ce projet de mappemonde auquel je réfléchis depuis longtemps.
J’avais déjà fait un article pour le détecteur d’orage à base d’AS3935 (voir ici) mais force était de constater qu’il ne marchait pas bien. Et j’ai rapidement compris où était le problème : les nodemcu gèrent très mal les interruptions ! J’ai eu les mêmes constat avec le pluviomètre, et c’était le même problème ici.
Avant de créer le réseau dans le jardin, il convient de préparer la manière de détecter correctement les trains et de gérer le cantonnement. Voici la méthode que je pense retenir.
Avec le train de jardin, j’ai voulu évacuer tout de suite le problème de captation de courant par les rails. Après plusieurs années dehors, le travail de nettoyage deviendra fastidieux et le plaisir s’en ira. J’ai donc cherché une méthode et je suis parti sur un pilotage via ESP8266 et batterie externe.
Je commence un nouveau chapitre sur le blog. Après plusieurs années à avoir fait du train miniature à l’échelle N (1/160), je viens de basculer sur du train de jardin échelle G (1/22,5). Quel rapport avec le blog ? Les trains seront pilotés par des Arduinos 🙂 Voici donc le guide de démontage d’une locomotive